Rimbaud fleur au fusil - Entre 2010-2013 (peut-être postérieur) . Pastel sec et acrylique sur papier kraft 100 X 70 cm. D'après photo de "Rimbaud au fusil". 

Rimbaud, vers 1880? 1883? à Sheick-Othman, sorte d’oasis non loin d’Aden.

Une inscription manuscrite indique : "Environs d'Aden. Avant le déjeuner à Sheick Otman". Ce cliché aurait été pris par Georges Revoil, pour garder le souvenir d'une partie de chasse.

http://abardel.free.fr/iconographie/05_photos_d_afrique.htm

http://www.philippesollers.net/Rimbaud.html

https://www.arnaudmaisetti.net/spip/notes-questions-lirecrire/rimbaud-lire-ecrire/rimbaud-des-nouvelles-jusqu-a-nous/article/rimbaud-corps-noir

 Cherchez l'intrus! Arthur Rimbaud fait tache par rapport aux autres aux postures très colonialistes, posant fièrement, voire infatués de leur personne. Rimbaud n'a pas l'attitude attendue. Il fait très gauche en plus de paraître timide...

On peut rapprocher cette photo avec d'autres documents iconographiques d'Arthur Rimbaud, mais aussi rapprocher mon interprétation qui se veut atteindre sobrement et simplement son but - avec une gaucherie assumée - du poème Le Dormeur du val finissant par "il a deux trous rouges au côté droit". Ici la rose rouge sang remplacerait ces deux trous du sonnet de Rimbaud. Mais plus certainement, c'est le titre de l'oeuvre qui prime.

pastel et acrylique à paillettes sur carton toilé 40x30 cm.

 Cette oeuvre mérite ces quatre titres en un. Le premier et le second n'ont pas besoin d'explication. "Reine de la nuit" c'est parce qu'elle ne resplendit de toute sa brillance que la nuit (la photo-ci en est un pâle reflet). "Joke-onde" ça m'est venu sans savoir que le jeu de mots a déjà été employé maintes fois, ce qui n'est pas étonnant... sauf que la mienne (qui n'est pas une parodie de la Joconde) a vraiment un côté "onde " (eau) en plus de quelque chose de l'ordre de la plaisanterie ou de la farce, par son air un peu espiègle avec son esquisse de sourire entre deux eaux et son regard sur le côté. On peut la voir donc au moins sous quatre angles de vue. 

Il s'agit d'un projet d'oeuvre dont existe pour l'instant une maquette . L'œuvre est proposée à la commune Loire-Authion constituée de sept communes.

1ère maquette de Entendons-nous (ou L'arc-en-ciel des sept clochers de Loire-Authion)

pastel sec, peinture acrylique, photos sur papier kraft. 114 X 106 cm. 

 2ème maquette de Entendons-nous (ou L'arc-en-ciel des sept clochers de Loire-Authion), collage, acrylique, pastel 60x60 cm.

Exposée à Brain sur l'Authion le 12 et 13 novembre dans le cadre de Rout'Arts.

À PROPOS DE L'OEUVRE

Une oeuvre emblématique, non religieuse, mais d'une "spiritualité laïque" se voulant symbole de reliance...

Il ne s'agit pas d'une œuvre religieuse à proprement dit, sauf dans le sens étymologique du terme « religion », « ce qui relie ». Or, s'il y a bien une chose qu'il est difficile de louper dans un village, c'est l'église. Ce sont les monuments historiques conservés les plus anciens, les plus représentatifs et symboliquement forts, même longtemps après que l'Etat se soit séparé de l'Eglise, même après le désemplissage des églises, la forte décatholisation qui a suivi le grand mouvement laïc. L'église était autrefois le centre social (qui recueillait les plus démunis) et éducatif du village. Aujourd'hui, leur fonction religieuse a cédé beaucoup de place au culturel (tourisme, concerts, expos...). Autrefois la religion était au cœur de la vie, tout était relié au cosmos. Le calendrier agricole (microcosme) était lié à la religion et rythmé par elle à travers toutes les fêtes qui suivaient l'astronomie (macrocosme), et fêter les saints, les martyrs avait un sens, c'étaient autant de commémoration qui devaient parler à chaque personne portant un nom de saint. La société était portée par du sens qui seul a pu permettre la réalisation des grands projets de construction des églises étalée sur un siècle. L'alphébitation était rare mais le symbole, avait une place prépondérante, et tout le monde pouvait la comprendre le langage des modillons. La symbolique pourtant essentielle à notre humanité puisqu'elle véhiculait du sens s'est perdue. Or l'Homme sans sens, c'est à dire sans spiritualité, se réduit à la matière, ce qui a été rendu possible par le matérialisme, tandis que l'individualisme à outrance nous a fait perdre le sens de projet commun, l'élan commun. Sans tomber dans le communautarisme ou le communisme, beaux idéaux mais illusoires et dangereux (l'histoire nous l'a montré pour le second), l'idée communauté est une valeur essentielle et la communauté de communes permet aussi aujourd'hui de dépasser les guerres de clochers qui ont perduré pendant des siècles, ce qui montre qu'il n'y a pas non plus lieu à idéalisation du passé, pas même le Moyen-Age qui était par rapport au nôtre un siècle extrêmement violent. C'est bien aussi pour cela que la religion (malgré tous les crimes au nom de Dieu) a eu un rôle civilisationnel face à la barbarie sans foi ni loi où nous aurions pu rester et qui aurait été bien pire. Rôle civilisationnel, de même de l'amour courtois qui a adoucit les mœurs par les troubadours et leur « Dame de leur pensée », de même que la chevalerie qui était codifiée.

Enfin les églises par leur élancement vers le ciel invitent à l'élévation de l'âme, que l'on soit "croyant" ou "athée".

Aussi, pour en revenir à l'oeuvre « Entendons-nous », elle est davantage porteuse d'une « spiritualité laïque » (proposée par Luc Ferry), sans pour autant renier, omettre le leg de l'Eglise, notre héritage à tous qu'elle tend à rappeler sans lourdeur. On ne peut construire l'avenir sans référence au passé, sans l'assumer et l'honorer par la mémoire.

Symboliquement, le nombre sept, celui des communes constituant Loire-Authion, est fort. Il rappelle les sept jours de la Création dans la Genèse, les sept jours de la semaine qui en ont découlé, les sept congrégations auxquelles Jean écrivit de Patmos, enfin les sept couleurs de l'arc-en-ciel, symbole dans la Bible de l'alliance entre l'humanité et Dieu. Aujourd'hui on dirait plutôt entre les humains et la Nature (celle-ci étant dans le sens spinozien assimilée à Dieu). En effet l'écologie n'est plus périphérique au projet humain, elle est au centre, sa prise en compte, la condition siné qua non de la survie de l'humanité. 

Le modillon qui se trouve au centre de l'oeuvre « Entendons-nous » incarne le titre. Il n'est pas d'époque romane, mais en suit la symbolique compréhensible par tous, sauf ci on est frappé de cécité physique bien entendu. Sa provenance est de Briollay, commune ne faisant pas partie de Loire-Authion mais ancienne commune de l'artiste, cela fait donc sens pour lui, outre le sens commun à tous. Cela peut nous rappeler aussi que Loire-Authion est aussi relié au monde, et donc entre autres à Briollay, et que l'entente ne saurait se réduire à une communauté de communes formant une Commune sans pour autant faire perdre l'identité de chaque commune la constituant, ayant un nom. C'est pour cela aussi que chaque église de ces communes étant unique, ayant son propre caractère, son propre cachet (même celle de la Daguenière qui n'a pas été valorisée en tant que « remarquable ») l'oeuvre « Entendons-nous » veut rendre hommage à la diversité et à la singularité au sein de l'union prônée. Elle est un éloge de la différence autant que du semblable. Ce qui nous réunit et ce qui nous distingue est aussi important, indispensable même, l'un en tant que forces de convergence et d'entente, l'autre en tant que richesses, dans cette différence, dans cette singularité de chacun et de chacune, devant faire l'objet d'échanges. L'oeuvre rend compte de l'unicité de chaque église par leur silhouette unique mais aussi par leur couleur attribuée et globalement donc à chaque commune. Ainsi, en commençant par Saint-Mathurin, le centre de la Commune Loire-Authion, chaque commune étant signifiée par l'écriture de son nom en blanc au dessus ou à côté du clocher, cet arc-en-ciel est constitué de « Saint-Mathurin la violette », « La Bohalle l'indigo », « La Daguenière la bleue », «Brain sur l'Authion la verte », « Andard la jaune », « Corné l'orange », «Bauné la rouge » (jeu de mots avec « bonnet rouge »). Ces couleurs données sont arbitraires.

Une œuvre qui tourne sur elle-même dans le sens des aiguilles d'une montre.

On a remarqué que les églises sont disposées en cercle en périphérie du centre occupé par le modillon, les pointes des clochers tournées vers l'extérieur. Dans sa conception optimale, cette œuvre au pastel (mais cela est changeable), devra être fixé sur un support actionné par un mécanisme et les clochers (avec leurs aiguilles...) se déplacer de commune en commune. Cela permet de rappeler que bien qu'il y ait un « chef » des communes, ce qui est en haut est comme ce qui est en bas et c'est une manière d'honorer chaque commune, d'avoir tour à tour son « heure de gloire ». C'est rappeler aussi le temps, à la fois chronique, chronologique et cyclique (des saisons, de la vie). Et pour enlever le caractère arbitraire de la couleur attribuée à chaque commune on peut aussi envisager un autre mécanisme avec filtres colorés ou autre, se déplaçant en même temps que les clochers mais de manière indépendante et qui se faisant prendront une autre couleur. Quoi qu'il en soit, s'il y a bien une chose qui est sûre c'est que l'aiguille doit tourner dans le sens des aiguilles d'une montre, de gauche à droite, car on ne peut que suivre le mouvement vers le futur tout en incarnant le passé (en amont) et le présent (l'aiguille).

Une œuvre signée Stéphane Gentilhomme mais à plusieurs mains...

En effet, la réalisation dans son mécanisme nécessite des intervenants extérieurs ! Mais l'oeuvre ne peut être qu'attribuée à l'artiste concepteur de A à Z. Sinon, il va de soi que l'artiste désire se faire connaître en tant que tel. Donc il signe.

L'oeuvre secrète, l'oeuvre sécrète (fin août 2022) toile enveloppée de papier kraft, feutre violet, acrylique dorée, tulle-filet or métal, lacet, scotch d'emballage et scotch transparent -  83x 61 cm.

Y a t-il vraiment quelque chose de caché? A part une toile, y a-til oeuvre? Ou l'oeuvre ne serait-ce que son emballage suffisamment travaillé artistiquement, suffisamment significatif et suggestif pour le mettre au rang d'oeuvre d'art? D'emblée l'oeuvre nous interroge par ce qui ressemble à un titre, qui est double et qu'un accent doré annonce, tandis que des coulures dorées suggèrent une sécrétion effective, mais qui ne symbolisent peut-être que les commentaires que l'oeuvre est apte à susciter. 

C'est à la fois une ouverture et une fermeture, public et privé. Créer le mystère, parler de secret, de sacré, de curiosité, de désir, de frustration, d'imaginaire, d'intimité, d'interdit, de limites, de liberté... telle est sa raison d'être.

Cette oeuvre peut être accrochée à un mur, ou suspendue au cou de l'artiste ou tenue par une main, car elle peut faire l'objet d'une performance, voire d'un happening (d'où le lacet...) Expérience intéressante, mais risquée serait-ce. Exposée ainsi, elle serait vulnérable, risquerait d'être dévoilée et par-là même l'intimité de l'artiste violée, car faut-il le rappeler? il y a un artiste derrière l'oeuvre, et c'est son droit de ne faire voir que ce qu'il veut. Mais cela pourrait venir par accident, par un enfant inconscient ou par accrochage à une pointe par exemple, qui déchirerait le papier et dévoilerait ce qui était caché. On pourrait penser alors que le destin a choisi, peut-être dans les deux cas d'ailleurs. Mais dans les deux cas l'oeuvre telle qu'elle a été voulue ne serait plus. Une autre, peut-être, apparaîtrait. Celle-ci, à supposer qu'elle existe, serait-elle aussi intéressante? Qu'est-ce qui est préférable? 

Du reste, au pire il resterait au moins d'elle une photo. 

Aigrette ou coeur d'aigrette (d'après photop) 31 janvier 2015, acrylique sur papier kraft

 Vue de chez moi de loin 13 février 2015  Acrylique sur tapisserie H: 40 cm L: 30 cm

Dolmen Hé-Yod (acrylique sur kraft), 2 mars 2015

Dolmen soleil 8 mars 2015

Illumination d'arbres

à suivre...

Aquarium réalisé par mon père en 1975 (deux ans après ma naissance et non en l'année de ma naissance comme il l'avait dit d'abord - ce qui me plaisait puisque je suis en plus Poissons...) Il s'agit d'une peinture d'après une illustration d'un livre sur double page. Il a aussi dessiné et peint grandeur nature sur deux pages de même taille, après avoir fait toutes les mesures. Cette peinture lui a pris beaucoup de temps, demandé beaucoup de patience et de méticulosité, et de passion. Apparemment mon père, d'ailleurs est passionné de pêche, et là, c'étaient les poissons exotiques qu'il aimait, non pour les pêcher, non pour les manger, mais pour le simple plaisir des yeux. Monde fascinant en effet qu'un aquarium...

Je ne sais à quel point la "reproduction" est fidèle à l'original. Je l'imagine plus beau que l'original. Mon père, copiste ou artiste? Sans doute les deux. D'ailleurs, être copiste c'est un travail d'artiste ou travail artistique.

 Mon père, artiste, cela me plait bien. J'aurais tendance à le voir  comme un artiste contrarié. Trop pris par ses obligations familiales, il n'aurait pu poursuivre une activité artistique pour laquelle il avait un si grand goût et talent. N'aurait-il peint que des poissons? Aurait-il toujours copié ou aurait-il créé des compositions originales? Voilà des questions que je me pose.

J'ai déclaré cette oeuvre un chef-d'oeuvre, car bien que devrait être déclaré ainsi l'original dont l'auteur m'est inconnu et qui le restera peut-être longtemps sinon toujours, il n'est pas impossible que cette "copie" soit plus belle que l'original et faire passer l'original du rang d'oeuvre au rang de chef-d'oeuvre. Mais que veut dire "chef d'oeuvre" pour un artiste-copiste qui n'a fait qu'une peinture dans sa vie et en plus une "reproduction"?

 C'est là qu'on entre dans le fantasme du fils artiste qui voit une filiation certaine, bien que contrairement à son père, il soit l'auteur d'oeuvres exécutées rapidement et d'un très grand nombre comme pour rattraper le père, le "racheter" ou plutôt accomplir quelque part son potentiel irréalisé, réalisé en une seule oeuvre, mais quelle oeuvre! Comme une impulsion pour le fils qui aura depuis enfant admiré cette peinture du père fier, et à bon droit. La multitude et la variété de poissons et d'herbes que l'on voit sont là, pour le fils, comme un symbole avant-coureur de la productivité à venir de celui-ci, et que caractérise sa grande variété.

Avec cette oeuvre sans titre, mais que l'on nommera Aquarium (pour rester sobre) on entre dans un ballet de verts de roses, rouges, de bleus, de gris, de jaunes - mais surtout c'est le vert et le rosé qui inonde le tableau rehaussé par des touches vives, enrichi par de multiples nuances. On nage dans les tons délicats, les nuances, dans un miroitement, un enchantement aquatique. Il me suffit de zoomer  (avec Picasa) et je m'y promène avec délice, me faufile comme l'un de ces poissons entre les herbes de tant de verts différents, dont la danse chaloupée est quasi imitée par les poissons tout aussi en apesanteur, avant qu'un coup de queue vienne la briser dans une rapide propulsion - briser avec bonheur comme ce contraste d'une zone noire au sein des tons pastels, clairs ou vifs.

J'ai dit plusieurs fois que ma première révélation picturale en tant qu'enfant avait été le dessin d'un Tarzan de mon oncle Jacques, parti vers 1976-1977, oncle que j'ai le vague souvenir d'avoir vu une seule fois et dont je possède une photo de son visage illuminé par son sourire. Mais j'ai sans doute omis la peinture de mon père, parce que c'était par trop évident. En tout cas, ces deux oeuvres, l'une à l'encre noire (mais dont je n'ai aucune trace autre que celle indélébile de ma mémoire: je le revois comme en vol, sautant d'une branche...), l'autre en couleur, sont comme les bases picturales et les deux grandes origines, du plus loin de ma mémoire, que je puisse trouver à mon goût et à mon talent dans le dessin et la peinture.

 Je ne veux pas oublier ma mère, mais la découverte de son talent artistique me fut révélé que plus tard.

 Enfin, j'aimerais rapprocher cette peinture d'une célèbre de Matisse: Poissons rouges, dont le style est assez proche, sauf que toute la beauté de l'oeuvre de mon père qui salue et peut-être rehausse l'oeuvre d'un artiste inconnu, ne se saisit pas au premier regard comme les Poissons rouges de Matisse.

Poissons rouges (1910) Matisse

L'oeuvre de Matisse  (un vrai chef-d'oeuvre - c'est à dire chef d'oeuvres...) s'embrasse d'un coup d'oeil, est plus vive, plus "clinquante" plus "tape à l'oeil" (mais qui a pour origine les poissons rouges surtout...), alors que l'oeuvre (l'oeuvre en chef) de mon père, son chef-d'oeuvre, ai-je dit, et qui le restera pour moi - tant il me semble qu'il y a mis de lui-même, de sa patte, en plus d'y avoir mis tout son coeur - est, je dirais, mais ce n'est qu'un avis subjectif, plus pudique, plus secret, il se découvre peu à peu, tant le foisonnement bigarré fait barrage à l'embrassement d'un seul coup d'oeil. Il est d'une richesse inouie, dans les détails notamment de la robe des poissons, lequels demandent chacun notre attention pour les voir.

J'ai imaginé que ma dernière oeuvre serait la reproduction du tableau de papa, que je ne pourrais jamais égaler, qui sera je pense forcément autre, copie autre de la copie autre de l'original... Mais oeuvre aussi à part entière, comme celle de papa l'est à mes yeux. J'ai imaginé réaliser ainsi un très grand tableau, de la taille de Guernica de Picasso.

Que je la réalise un jour ou pas, et que dans le premier cas elle soit de la dimension de Guernica ou plus petite, Merci à papa pour cette peinture si importante pour moi. Et qui j'espère enchanteront d'autres personnes.

Merci maman d'avoir pris de ton temps pour m'en envoyer des photos dont j'envoie d'autres détails (le premier et le dernier sont la même portion, mais d'un éclairage différent).

Après cet hommage à papa, j'espère pouvoir faire bientôt un hommage à maman par le partage de quelques unes de ses oeuvres picturales - surtout des aquarelles, alors que Aquarium a été réalisé à la gouache.

Bain de lumière (ou Dans la lumière) pastel sec (41x29) inspiré d'une photo de Elles ont posé pour lui. Vers le 15 octobre 2014.